Transcriptions écrites
Le 13 juillet 2003 - Ardouane
Mes enfants, Merci d’être venus aussi nombreux, et j’espère que le peu d’air que vous avez eu vous a permis de souffler un petit peu par rapport à cette chaleur. Mes enfants, je vous remercie parce que vous êtes toujours témoins de la Foi et de l’Amour. Mes enfants, j’ai quelques nouvelles à vous transmettre. Le monde actuel va se ternir de nouvelles guerres, guerres fratricides, guerres qui vont opposer différentes populations « qui s’appelle de religions différentes », alors qu’une seule religion est et restera. D’autre part, une réponse à vos questions : un prêtre de Paris, de l’ordre de Saint Roch, viendra pour faire évoluer la Maison, la mienne. Ceci sera fait avant la fin de l’été. Maintenant, certaines personnes sont venues ici avec des questions, problèmes de santé, problèmes sentimentaux, problèmes financiers. A chacun il y aura une réponse dans chacun de ces cœurs. Ecoutez, ressentez la chaleur qui vous sera rendue à l’intérieur de vous-mêmes et vous comprendrez le chemin à suivre. Il faut absolument que vous ressentiez et que vous alliez de l’avant. Si souffrance il y a sur le chemin de la vie, il faut la transmettre à mon Fils. Offrez-Lui cette souffrance, et Il vous rendra toute la chaleur de Son Cœur, de Son Amour et de Sa Paix. Vous devez aller de l’avant. Il n’est pas un temps où il faut reculer, il est un temps où il faut avancer, il est un temps où il faut savoir que l’Amour et la Paix sont les deux seuls mots maîtres de votre univers. Il est dur certaines fois de prendre une gifle et encore plus dur de tendre l’autre joue. Ceci n’est qu’une image, mais elle est vécue chaque jour. Il faut savoir aimer, et par l’amour, on est capable de tendre l’autre joue. Mes enfants, je vous demande de poursuivre la prière, de poursuivre la compréhension vis-à-vis de vos frères, de savoir écouter, de savoir parler. Vous devez aller au-devant de vos frères ; même s’ils vous tournent le dos, sachez que quelque part ils ont besoin de votre parole, ils ont besoin de votre sourire, ils ont besoin du rayon de soleil que vous apportez. Continuez, vous êtes sur la voie de la reconnaissance Divine, vous êtes sur la voie de l’Amour et de la Paix, vous devez poursuivre. Mon Fils vous transmet Sa Bénédiction, « au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. » Il est à côté de vous sans cesse tous les jours et Il vous soutient, Il vous soutient, Il vous dégage le chemin, Il vous permet d’avancer tranquillement, suivez-Le, n’ayez pas peur, Il est là, Il vous guide. Mes enfants, le chemin n’est pas aussi long que vous le croyez. La longueur n’est faite que par les entraves que vous mettez tous les jours sur ce chemin, par l’écoute, mauvaise écoute d’un tel ou d’un tel. Il n’y a que la Parole de Dieu, la Parole de mon Fils, du Père Eternel et de l’Esprit Saint qui puisse vous permettre d’aller de l’avant. Vous devez poursuivre ce chemin. Ecoutez, apportez la bonne parole autour de vous et sachez que vos souffrances personnelles seront guéries à partir du moment où vous apporterez l’aide à autrui. Toute aide à autrui permet une aide à soi-même, et c’est l’Amour de Dieu qui le confirmera. Je vous remercie pour toutes ces fleurs. Je demande à chacun d’en faire cadeau dans la Maison de mon Fils. Le Père Eternel en ce point bénira toutes ces plantes afin qu’elles soient un reflet de la vivacité d’Amour et de Paix dans la Maison de mon fils. Ne pensez pas toujours à la douleur, pensez plutôt au bonheur. Dans la douleur, vous trouverez le bonheur, mais pas l’inverse. Il faut que vous avanciez, il faut que vous avanciez et surtout priez, priez, priez. Vous avez tout entre les mains ; vous avez le chapelet, vous avez la Bible, vous avez le feu du cierge. Tout ceci permettra que le monde évolue et permettra de soutenir tous ceux qui souffrent et tous ceux qui ne connaissent pas. Mes enfants, comme Mère je vous embrasse tous comme mes enfants, comme le Père vous embrasse comme Ses enfants aussi et comme Jésus vous embrasse comme des frères et des sœurs. Tout cet Amour doit se répercuter en vous et autour de vous. Je vous embrasse et je reviendrai. Je ne reviendrai pas, pas avant le début de l’automne. Je vous tiendrai au courant.